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CENTRE CULTUREL BOUDDHISTE
JODO-SHINSHU HARRY PIEPER

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JODO-SHINSHU HARRY PIEPER


Brochure n°15 au format PDF (11.2023) 250.0 ko



Le Diamant de la
Parfaite Sagesse

Feuille du Centre Culturel Bouddhiste Jôdo-Shinsû Harry Pieper de Montpreveyres, CP 29, 1018 Lausanne.


Le Nemboutsou de la Véritable École de la Terre Pure (jap. Jôdo- Shinshû) du Bouddhisme, unique moyen à même de résoudre, vraiment et réellement, les problèmes fondamentaux de l’homme (1), en cette époque de corruption et de décadence.

Dans la civilisation occidentale hypermoderne mondiale uniformisée, en cette période de tensions, toujours plus nombreuses sont les personnes qui cherchent à comprendre le sens profond des événements : derrière les apparences, la vérité.
Dans ce contexte, sous l’impulsion des nouvelles technologies digitales de communication, une quantité prodigieuse d’informations se propage tous azimuts, des informations qui accaparent l’attention des gens jusqu’à la subjugation.
Tant et si bien qu’une question absurde se pose : de nos jours, l’information mènerait-elle à la Suprême Sagesse ?
Au point d’extrême aliénation auquel nous sommes parvenus, paradoxalement, il devient très difficile de ne pas s’apercevoir que nous sommes confrontés à la dernière tentative en date, plus insidieuse et perverse que toutes les précédentes, visant à faire passer le Christianisme, et plus généralement les monothéismes abrahamiques, de l’état de religion à celui de superstition.
En fait, suite à l’expansion coloniale occidentale, la corruption de la sphère spirituelle se propage à l’échelle mondiale, jusqu’à la subversion totale. Telle est la signification fondamentale de la civilisation occidentale moderne mondialisée, observée sans ses travestissements, regardée sous ses oripeaux informationnels, économiques, technologique, politiques, financiers, quantiques. Pour celle-ci, en effet, la profanation systématique des cultures traditionnelles, si riches de leurs principes métaphysiques, n’est pas un moyen en vue d’une fin, elle est une fin en soi, sa cause finale : l’expression irrépressible de sa haine du sacré, de sa détestation de la spiritualité, de son exécration de la transcendance.


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