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CENTRE CULTUREL BOUDDHISTE
JODO-SHINSHU HARRY PIEPER

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JODO-SHINSHU HARRY PIEPER


Brochure n°13 au format PDF (06.2022) 124.0 ko



Le Diamant de la
Parfaite Sagesse

Feuille du Centre Culturel Bouddhiste Jôdo-Shinsû Harry Pieper de Montpreveyres, CP 29, 1018 Lausanne.


En Occident, par le passé, on disait : la vie humaine n’a pas de prix ! Or, de nos jours, le « progrès » fait qu’elle n’en a plus... ou : quand une petite girouette emportée
par un typhon ressemble à l’homme contemporain moderne, ce «dividu », que la sidérante propagande «infra »-transhumaniste des médias mondialisés, après l’avoir débilisé puis divisé contre lui-même, tend à dissoudre ; ou : lorsque la rationalité comme référence ultime porte d’aucuns à envisager qu’un homme et une femme suffisent à préserver l’humanité ; ou encore : lorsque les crypto-nazis se montrent finalement
ouvertement inter-nazis.


Monsieur Jacques Baud, ancien colonel de l’armée suisse, ancien agent du renseignement stratégique suisse, mérite l’estime et la reconnaissance des populations d’Europe de l’Ouest pour le courage de ses prises de positions visant à transmettre une information de qualité - impartiale (1) - dans un contexte historique qui semble, aux yeux de beaucoup, peu propice à une telle démarche.

Un agent du renseignement stratégique suisse faisant preuve publiquement d’intelligence et de courage en ne cachant pas de façon systématique la vérité (et ceci dans un milieu séculier !), l’analogie entre certaines pratiques des milieux ecclésiastiques et des membres du renseignement étant connue, n’est-ce pas là un encouragement à penser que les raisons fondant le devoir d’obéissance liant certains ecclésiastiques à leur hiérarchie institutionnelle puissent être réinterprétées par eux en principe (2), au vu de la très lourde responsabilité que leur institution porte depuis des siècles dans la déspiritualisation et la désacralisation de la société occidentale, la corruption du meilleur étant, comme chacun sait, la pire ?

Ainsi, est-il inconcevable que quelque forme plus ou moins obscure de pouvoir ait trouvé dernièrement le moyen de faire collaborer ces ecclésiastiques à son action, en mettant à profit leur devoir d’obéissance : en imposant une limite à la présence des proches d’un défunt lors des funérailles ; en allant jusqu’à fermer des églises au moment où les ouailles se trouvaient plongées dans une profonde détresse ; en émettant, au Vatican, une pièce de vingt euros mettant en scène des imposteurs parodiant la relation entretenue par Jésus, Marie, Joseph, soit un adolescent, une infirmière et un médecin masqués se livrant sous un crucifix au « rite » nouveau de la vaccination ?

Le devoir d’obéissance fut sans doute respecté. Pour ce qui est de la charité, on est en droit de se poser des questions. N’aurait-on pas alors cherché à discréditer plus encore l’Église qu’il eut été difficile de faire pire, tant de pareils actes ne s’inscrivent que trop bien dans la voie suivie depuis des siècles par la société occidentale : celle de la profanation.


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